Améliorer vos produits

 

AVEC UN DESIGN SPRINT

 

DESIGN SPRINT

 

Nous aidons les membres d’une équipe à améliorer leurs produits, leurs services, leurs processus avec plus de rapidité et d’efficacité pendant un DESIGN SPRINT.

 

Vous élaborez, prototypez et testez des solutions innovantes et pertinentes pour répondre à un problème spécifique de votre organisation.

 

Vous accomplirez en 5 jours ce qui vous prendrait au moins 6 mois à accomplir dans d’autres circonstances.

 
 

TABLES DES MATIÈRES

  • Imaginez

  • Pourquoi rapidement ?

  • Le monde d’aujourd’hui

  • Minimiser les risques

  • Le défi

  • Une méthode agile

  • Un exemple

  • Les start-up

  • Le lean startup

  • La qualité

  • L’amélioration continue

  • Le design sprint

 

IMAGINEZ

 

Qu’arriverait-il si vous pouviez améliorer vos produits ou vos services avec rapidité et efficacité ?

Qu’adviendrait-il si vos équipes étaient toujours plus motivées d’apporter plus de valeur à vos clients ?

Que ressentiriez-vous si vos clients appréciaient tellement vos produits et services qu’ils en référeraient avec enthousiasme autour d’eux, et vous référeraient d’autres excellents clients ?

À la NEC, nous vous aidons à mettre en place des processus pour que vous développiez une culture d’innovation en améliorant vos produits et vos services fréquemment.

Cette stratégie vous aidera non seulement à fidéliser vos clients, mais également à accroître la performance de vos équipes dans la bonne humeur.

Imaginez faire croître votre organisation ainsi d’année en année.

PRIORITÉ No. 1

AMÉLIORER RAPIDEMENT

vos produits et vos services

 

Si vous utilisez un produit et que vous êtes moyennement satisfait, il est facile d’en changer. Il suffit de voir une autre offre pour un produit similaire (peut-être avec une caractéristique en plus ou un prix un peu moins élevé) et vous opterez pour ce produit.

Les consommateurs sont courtisés comme jamais auparavant. Les entreprises investissent des sommes importantes pour attirer de nouveaux clients. Les stratégies de marketing se développent en s’appuyant sur les neurosciences et les données massives. Les vendeurs de produits veulent comprendre la psychologie, les goûts, les désirs de leurs clients.

 

Pourquoi rapidement ?

Parce que vos compétiteurs le feront, et ils développeront de meilleurs produits et services que vous.

Le monde d’aujourd’hui

 

Quelques secondes sur un site, et nous voyons apparaître les produits de publicités ciblées qui nous sont destinées selon nos derniers achats. Les algorithmes nous suivent à la trace.

Avec l’intelligence artificielle, la granulométrie n’a plus de limite.

Les produits se vendent mieux si les clients ont publié des commentaires positifs. Ces commentaires influencent nos choix.

Les données massives et leurs analyses permettent d’éclairer des décisions comme jamais auparavant sur les préférences et les habitudes d’achat. Ces façons de faire sont désormais pratiques courantes.

Dans les laboratoires de recherche, on commence même à expérimenter certains capteurs pour détecter les émotions et les pensées des personnes dans certains lieux. Bientôt les marchands sauront ce que ressentent les personnes devant les étalages de leur magasin !!!

Minimiser les risques

 

Certains peuvent se décourager des avancées de la technologie, penser qu’ils ne pourront jamais suivre la cadence qui ne cesse de s’accélérer. Rassurez-vous ! Il y a des chemins enthousiasmants pour les équipes qui veulent < mieux > faire rapidement.

 

PRIORITÉ No. 2

 

La bonne nouvelle ?

Toutes ces techniques ne remplaceront jamais une chose essentielle : l’attachement d’une personne ou d’une entreprise envers un produit ou un service qu’elle apprécie.

Pour une entreprise, la fidélité de ses clients a une valeur inestimable.

Si on opte pour cette stratégie de développement, on peut réussir année après année, décade après décade.

Mais pour que le succès soit au rendez-vous, il faut plusieurs ingrédients. La recette unique n’existe pas, mais il y a des philosophies et des méthodologies qui mènent aux meilleures recettes.

C’est ce que nous enseignons à la NEC pour accompagner nos clients vers des succès pérennes. Au-delà de la dernière tendance à la mode, analysons les lames de fond.

Fidéliser vos clients est une stratégie sur laquelle vous pouvez miser sans risque d’erreurs.

LE DÉFI

 

Satisfaire des clients d’une génération à l’autre est un défi exigeant, certes, mais combien galvanisant !  

 

PRIORITÉ No. 3

 

Une organisation doit :

1 - Apporter des itérations fréquemment et rapidement à ses produits et services :

Une culture de DESIGN SPRINT que nous expliquerons dans ce guide

2 - Innover pour offrir ce qu'il y a de mieux pour répondre à un besoin spécifique, combler un désir inassouvi, déployer des stratégies pour satisfaire le client, voire plus, l’étonner, l’éblouir.

Une culture d'innovation

3 - S'améliorer constamment à tous les niveaux pour accélérer les retombées pour ses clients et ses équipes, être une organisation apprenante, tester différents scénarios souvent et les valider sans tarder.

Une culture d'amélioration continue

Ce qui rend le défi  encore plus exigeant?

 

Pour créer et s’adapter rapidement, une organisation a besoin d’AGILITÉ.

Le processus scientifique pour y parvenir a été popularisé par Éric Ries, l’auteur de l’excellent best-seller, The Lean Startup.

Les problèmes des start-up sont à l’origine d’un mouvement sans précédent dans le domaine du management de l’innovation et de la gestion d’entreprises.

La philosophie The Lean Startup a fait prendre un virage agile aux entreprises de toutes tailles.

Dans les anciennes méthodes de travail, tous les experts, des designers aux publicitaires, faisaient leur partie du travail, le mieux possible. Cela représentait des investissements énormes en temps et en argent, et un risque important. Si, au bout du compte, les clients n’appréciaient pas le produit ou le service, c’était un échec ou une faillite.

Ces façons de faire expliquent les retards et la lenteur dans les projets d’innovation et le développement de produits et de services.

La méthode Lean Startup permet de réduire considérablement le temps entre les différentes étapes de sorte que le cycle complet est beaucoup plus court et peut recommencer avec une version améliorée du produit et ainsi de suite. Cette façon d’agir a une valeur inestimable, car elle permet d’apprendre beaucoup plus rapidement et de valider ce que l’on apprend. C’est une façon d’appliquer la méthode scientifique au processus de gestion non seulement dans une start-up, mais pour tout projet peu importe la taille de l’entreprise ou son domaine.

Un exemple dans le domaine de l’éducation

 

La fondatrice de La Nouvelle École de Créativité a commencé à appliquer cette méthode en enseignant la créativité et l’innovation à des doctorants à Polytechnique Montréal.

Innover signifie tester constamment de nouvelles approches et outils. Certaines choses ne fonctionnent pas, il faut donc être prêts à observer les réactions, accepter les critiques et améliorer l’expérience rapidement. L’échec rapide est source précieuse d’apprentissage.

Si vous êtes responsable d’un cours obligatoire, cela peut être délicat. Des étudiants, qui sont obligés de réussir votre cours pour obtenir leur diplôme, n’apprécient pas toujours qu’on les entraîne hors de leurs zones de confort. Il faut apprendre à accepter les critiques d’étudiants contrariés par une expérience créative, au départ, mais qui ont de fortes chances de vivre une expérience d’apprentissage fabuleuse ensuite.

Ce mode expérimental est délicat, mais c’est une façon d’évoluer plus rapidement. Les étudiants profitent des retours des étudiants qui  les ont précédés. De sorte que la plus récente version du cours est la somme de toutes ces vagues d’itérations. 

Cette approche permet à la fois aux professeurs de se remettre en question, de rester passionnés et d’évoluer, et aux étudiants de profiter du meilleur de ce que peut offrir une pédagogie de pointe. 

Peu importent vos fonctions et l’organisation pour laquelle vous travaillez, chaque personne est au service d’autres personnes. La  conscience d’être au service d’autrui transforme les pratiques et favorise une culture amélioration continue.

Les start-up ont peu de temps pour réussir

 

Si certaines personnes sont très charismatiques et réussissent à vendre leurs idées, mais n'ont pas les compétences pour les concrétiser, cela ne tiendra pas la route longtemps. Surtout après des fraudes comme le méga scandale de Theranos, la start-up dans le domaine des biotechnologies d'Elizabeh Holmes. Des investisseurs aguerris peuvent se laisser séduire par un résultat prometteur et novateur. Miser sur les beaux discours et l’image ne fait qu’un temps. Les résultats doivent être au rendez-vous.

Si cela vous intéresse, Hulu a produit une excellente série documentaire, The Drop out , sur cette fraude spectaculaire.

L’innovation est beaucoup plus que du spectacle. Pour une start-up, gagner des prix est loin d’être un gage de réussite. Parfois, cela peut être le contraire comme l’expérience vécue par ces quatre doctorants : Une histoire d’horreur.

 

À la NEC, notre cœur d’expertise fusionne trois aspects pour tout ce que nous  accomplissons.

Bien-être mental

Nous avons des programmes dédiés et un parcours pour les équipes, Musclez votre cerveau. Il est essentiel de développer un état d’esprit progressif et d’augmenter son intelligence positive. Un salarié sur deux rencontre des difficultés psychologiques. Ce travail doit se faire dans la joie et non avec un niveau de stress et d’anxiété élevé. Nous avons un programme d’entraînement mental pour stimuler cet état d’esprit.

Performance

Si nous n’avons pas les bons processus en place, si nous n’utilisons pas les bons outils, il sera impossible de progresser et de rester au niveau de nos compétiteurs.

Créativité

Nous inventons nos vies, nos projets, nos produits constamment. L’humain est fait pour créer et innover. La résistance aux changements est une croyance limitante. Il est possible de faire sauter les verrous.

 

Le DESIGN SPRINT est une bonne recette. À la NEC, nous avons mis cette recette à notre sauce. Et vous pourrez faire comme nous. Mais avant, revenons à la philosophie sur laquelle repose cette recette.

En d’autres mots, on peut concocter une bonne recette avec le seul objectif que ce soit bon au goût. On peut également se donner l’objectif que ce soit excellent pour notre santé. C’est une nouvelle combinaison : bon au goût + bon pour la santé. On peut aller encore plus loin, et ajouter que ce soit réalisé avec des produits locaux, etc. C’est à chacun de décider, les objectifs qu’il ou qu’elle souhaite combiner.

Le DESIGN SPRINT est une recette pour expérimenter davantage et obtenir de meilleurs résultats rapidement. Mais on obtiendra des résultats plus durables encore, si on l’applique dans un esprit de LEAN START-UP  ! Lorsque nous avons la contrainte de développer une entreprise à la vitesse grand V, il faut réinventer nos manières de penser et de collaborer, il faut optimiser nos processus. Le DESIGN SPRINT est un outil performant pour progresser vers une culture d’innovation.

 

LEAN START-UP

est une formidable méthodologie pour les entreprises de toute taille.

L’excellent livre d’Éric Ries, The Lean Startup explique la science derrière cette méthode inventée par un entrepreneur qui était aux prises avec de multiples problèmes à résoudre rapidement.

Pour s’en sortir, il devait apprendre à gérer la complexité avec simplicité.

 

Il est évident que les entreprises bien gérées gagnent avec de telles stratégies, c’est assurément la voie de l’avenir pour réussir.

1 - Lorsqu’on démarre un tout nouveau projet, on commence par le définir. Puis on s’informe sur le contexte, les problèmes, les différentes pistes. On apprend, puis on expérimente pour tester concrètement certaines pistes qui semblent plus prometteuses. Pendant ces expériences, notre vision se précise sur ce que nous voulons créer.

2 - La deuxième étape consiste à faire un saut dans l’inconnu. Il faut tester rapidement sinon tout cela restera théorique. Comme on le fait pour toute expérience scientifique, on mesure les résultats qu’on obtient après chaque test. Pour un entrepreneur, c’est la minute de vérité. C’est le moment où il se demande s’il doit persévérer ou pivoter vers un autre projet.

3 - Si les résultats des tests sont concluants, on est prêt pour la croissance. On doit automatiser ce qui doit l’être et continuer à adapter le produit ou le service pour qu’il reste parmi les meilleurs. Un défi de taille, car cela exige de contrôler la qualité, et d’améliorer constamment.

 

COMMENT MIEUX PRODUIRE ?

 

À l’ère industrielle, nous avons inventé les lignes de production dans les usines. Cela a permis de produire davantage et plus rapidement. Celui qui a popularisé cette méthodologie, c’est Frederick Winslow Taylor (1856-1915). Encore aujourd’hui, certaines organisations reposent sur ce genre de structures où chacun est responsable d’une partie du processus.

Avec le temps toutefois, ces structures ont créé beaucoup de lourdeur et de lenteur. Il est très complexe de favoriser une culture d’innovation dans ce contexte.

Au début des années soixante, un autre ingénieur, Kaoru Ishikawa a popularisé les cercles de qualité. On cherchait des méthodes pour améliorer le leadership et la compétence des contremaîtres, pour leur permettre d’appliquer des techniques de contrôle de la qualité avec la participation de tous les travailleurs.

Ceux qui ont le plus contribué à faire connaître ces approches, sont William Edwards Deming et Joseph Moses Juran dont les conférences avaient beaucoup de succès. Ils ont énormément contribué, à leur époque, à l’essor des cercles de qualité.

 

L’AMÉLIORATION CONTINUE

 

L’approche des cercles de qualité consistait à encourager les contremaîtres à réunir leurs employés volontaires et à examiner avec eux les différents problèmes qui nuisaient à la qualité de leur travail.

Ces approches permettaient d’apporter des améliorations aux produits, mais elles étaient complexes à gérer côté communications parce qu’elles se juxtaposaient à un leadership traditionnel de lignes hiérarchiques et de structures en silos.

Philip B. Crosby, un contemporain de Deming et Juran, s’est dit que pour vraiment améliorer la qualité, il fallait faire bien dès le départ. Il a défini la qualité comme la conformité totale et parfaite aux exigences des clients. Il est à l’origine du mouvement zéro défaut, zéro déchet, etc. 

Toutes ces méthodes ont fait évoluer les entreprises vers plus de qualité et vers des normes comme la norme ISO, par exemple. 

L’objectif aujourd’hui est toujours le même : Apporter des améliorations de manière régulière, et s’assurer de la satisfaction des clients.

 

Les racines du lean startup

 

Au fil des ans, les manufacturiers ont remplacé les cercles de qualité par une méthodologie, mieux intégrée, le « lean manufacturing », Toyota a été l’une des premières entreprises à mettre ce genre de structures participatives en place pour ses procédés manufacturiers.

L’entrepreneur Éric Ries s’est inspiré de l’approche du Lean Manufacturing pour créer la méthodologie Lean Start-up. Aujourd’hui, ce mouvement s’est répandu dans le monde avec énormément de succès.

On ne s’improvise pas entrepreneurs. Même avec des capitaux importants, des incubateurs, des accélérateurs et un super potentiel, plusieurs échouent. Peut-on apprendre à être un bon entrepreneur ?

Peut-on apprendre à améliorer ses produits ? La réponse est oui !

 

Comment éviter les échecs à répétition ?

 

Les succès d’une entreprise, petite ou grande, peuvent être systématisés avec les bons processus. En d’autres mots, on peut apprendre à réussir.

Pour Éric Ries, ce qui fait la différence réside dans la partie ennuyeuse. Pas dans les coups d’éclat spectaculaires. Pour lui, l’entrepreneuriat, c’est de la gestion !

Cette réflexion a mené à un virage sans précédent dans les entreprises. Son livre a été vendu à des millions d’exemplaires. Il est devenu une bible dont la méthodologie est enseignée dans les incubateurs et les accélérateurs pour aider les jeunes entrepreneurs, mais également dans des entreprises de toute taille.

La méthode du lean start-up permet d’apprendre rapidement de ses erreurs et d’améliorer ses produits et ses procédés en se basant sur des données réelles.

La mesure de performance : la satisfaction du client ! 

D’une expérience à l’autre, l’entreprise développe un savoir-faire dans sa manière de réinventer ce qui doit l’être.

Sans agilité, une entreprise survivra de moins en moins longtemps. C’est une tendance lourde, une lame de fond.

 

La première condition de réussite

 

La première condition de réussite : ce n’est pas la peine de perdre du temps et de l’énergie à développer des produits dont personne ne veut !

Le professeur en management qui a aidé plusieurs start-up à prévenir l’échec, c’est Steve Blank, un entrepreneur en série qui enseigne à Stanford. Il a été un des investisseurs dans la première entreprise d’Éric Ries, IMVU.

Parmi les méthodes qu’il a enseignées à des milliers d’entrepreneurs, il y a cette première étape qui consiste à aller à la rencontre de ses futurs clients.

Dans les incubateurs ou les accélérateurs qui enseignent la méthode de Steve Blank, ils recommandent de faire au moins 100 interviews d’une heure (questions ouvertes) auprès de clients potentiels !

C’est le point où le plus grand nombre échoue, l’idée qui semblait géniale, en théorie, ne répond pas toujours au besoin du client potentiel lorsqu’on prend le temps d’avoir une conversation avec lui.

VISION - STRATÉGIE - PRODUIT

 

Être agile, c’est apprendre à innover en répétant le processus en boucles d’itérations. Dès qu’on termine, on recommence.

La vision est la chose qui ne change pas ou peu. Une entreprise doit avoir une vision claire qui doit être comprise par tous. C’est l’étoile du nord qui rallie les troupes vers un même idéal. Nous offrons un programme formidable pour les équipes de direction pour les aider à clarifier leur vision et leur mission. Si cela vous intéresse, prenez rendez-vous pour un diagnostic, nous verrons si ce programme peut aider votre entreprise à faire un grand bond en avant.

La stratégie évolue de différentes manières. À certains moments, de petites améliorations suffisent pour faire bouger les marques, à d’autres moments, il faut emprunter de nouvelles directions pour tenter de concrétiser la vision. Cela peut aller jusqu’à pivoter vers un tout autre produit ou service. Avant de le faire, un DESIGN THINKING SPRINT est recommandé.

Le produit est ce qu’il faut améliorer et optimiser constamment pour rester parmi les meilleurs. C’est à cette étape qu’un DESIGN SPRINT est souhaitable et c’est ce qui explique la nécessité d’en faire à périodes régulières.

Gérer son organisation ainsi encourage une culture d’innovation.

UN DESIGN SPRINT PERMET DE FIDÉLISER SES CLIENTS

 

PRIORITÉ No. 4

 

Si vous êtes fan des produits Apple, par exemple. Au fil des ans, vous consommez de plus en plus de produits Apple : ordinateur, téléphone, montre, accessoires, etc. Si Apple n’avait pas cette base de clients fidèles qui augmentent d’année en année ses succès seraient moindre.

Il est épuisant de toujours chercher de nouveaux clients si on ne sait pas fidéliser ceux que nous avons déjà !

La méthodologie du DESIGN SPRINT est excellente pour développer une culture d’amélioration continue et fidéliser ses clients. Elle permet aux équipes de se focaliser sur un problème spécifique et de le résoudre avec créativité et pertinence.

Nous aidons les équipes à réussir leurs DESIGN SPRINTS

 

Nous accompagnons nos clients dans l’élaboration de leur processus d’amélioration continue. Pour nous, cela doit être amusant, créatif et très efficace. Et pour cela, rien de mieux qu’un DESIGN SPRINT.

Que vous vendiez de petits produits au plus grand nombre ou des produits d’exception à un nombre limité de clients, l’application de la méthodologie du DESIGN SPRINT vous aidera à accélérer vos processus d’amélioration de produits et de services.

Si à une certaine époque une entreprise pouvait s’offrir le luxe d’attendre avant d’améliorer ses produits, désormais, dans un monde de plus en plus compétitif et rapide, maintenir un niveau de qualité selon les besoins des clients est primordial pour réussir de manière pérenne.

 

L’origine

du DESIGN SPRINT

 

Dans ce guide, nous vous avons présenté les concepts clés qui ont mené à l’évolution de la gestion des entreprises. La réussite d’une innovation passe par la satisfaction des clients.

Le DESIGN SPRINT est surtout connu des designers de produits, mais en fait, il a un impact beaucoup plus important si on sait l’utiliser. Il est un allié précieux pour que l’innovation soit concrètement l’affaire de chacun.

Le designer de produits qui est à l’origine de cette méthodologie, c’est Jake Knapp.

Sa réflexion a commencé à partir d’un échec retentissant au moment où il travaillait chez Microsoft. Depuis cet échec, il n’a cessé de se demander, ce qui aurait pu être fait autrement pour éviter un tel échec !

L’histoire d’une idée

 

Jake Knapp était un membre de l’équipe de développement du produit Encarta, une encyclopédie multimédia numérique vendue sur CD-ROM et DVD avant d’être disponible sur Internet, moyennant une inscription payante.

Même si le produit de Microsoft était bien fait, il a été un échec cuisant. L’entreprise a investi des sommes importantes de 1993 à 2009.

Entre-temps, Wikipedia a vu le jour en 2001 ! Son concept était révolutionnaire pour l’époque : une encyclopédie populaire, gratuite à laquelle tous pouvaient participer.

Si la qualité des articles (rédigés par des bénévoles) n’était pas toujours de même niveau, il y avait toujours de l’information disponible. On connaît la suite, les algorithmes des moteurs de recherche de Google ont rapidement permis à ce que ce soit la première source d’information sur d’innombrables sujets sur Internet.

 

L’échec embarrassant

de Microsoft

 

L’équipe de développement de produit a fonctionné comme la grande majorité des équipes de développement de produits fonctionnaient dans le monde entier. Elle se focalisait sur le produit, dans un premier temps, puis sur la cible, une fois le produit développé.

En 2007, Jake a rejoint les équipes de Google. Il était curieux de voir si Google développait ses produits autrement. Il se demandait si les ingénieurs avaient de meilleures méthodes étant donné que Google avait la réputation d’innover davantage. Mais c’était la même chose. Les équipes se focalisaient sur le cœur du produit pour développer un bon produit, et attendaient à la fin pour orchestrer un lancement.

Et il n’était pas rare que le produit ne voit jamais le jour. Ce sont les fameux 20 % du temps où les employés sont libres de travailler sur un projet de leur choix. Des idées qui semblent géniales au départ finissent par ne rien donner.


Google n’était pas different.

 

Pendant son expérience chez Google, Jake a participé à l’équipe qui a développé Google Meeting, devenu ensuite Google Hanghout pour finalement porter le nom qu’on lui connaît aujourd’hui, Google Meet.

En janvier 2009, il a rejoint ses collègues à Stockholm pour une semaine. C’était parfait pour rester concentré. À cette époque, il fait nuit noire tout le jour à l’extérieur.

En une semaine, ils ont trouvé des solutions aux problèmes qu’ils essayaient de résoudre depuis un certain temps déjà.

Il est difficile de développer un produit lorsque nous sommes dérangés constamment par des réunions ou d’autres mandats. On perd le focus.

Pour Jake, son expérience l’a convaincu que la semaine parfaite pour un DESIGN SPRINT commençait le lundi et se terminait le vendredi.

En 2010, Jake Knapp a rejoint Google Ventures, la société de capital-risque de Google qui investit dans des start-up prometteuses. C’est à ce moment où il a pu animer des centaines de DESIGN SPRINTS pour aider les start-up à réussir.

 

Réunir les acteurs importants

 

Réunir les acteurs importants d’un projet dans un même endroit, pendant une semaine, fonctionne mieux que d’organiser des réunions sur plusieurs mois. Tous se focalisent sur le même objectif.

Un DESIGN SPRINT peut éviter qu’une start-up dépense des budgets importants avant de constater que son produit n’a aucune chance de trouver un marché.

Après toutes ces expériences, Jake Knapp a écrit en détail les étapes de cette méthodologie dans le livre SPRINT avec deux de ses collègues John Zeratsky et Bridan Kowitz.

Depuis, le DESIGN SPRINT est une méthodologie connue des designers, particulièrement les designers UX et de nombreux entrepreneurs à succès.

Aujourd’hui, il y a de nouveaux outils digitaux qui permettent de faire encore mieux qu’une semaine en présentiel. 

Un DESIGN SPRINT en distanciel, bien mené, peut apporter encore plus de valeur. C’est un des parcours que nous offrons à la NEC

  Un produit minimum viable

 

Avant de vous présenter les étapes d’un DESIGN SPRINT, parlons encore un peu de la philosophie derrière cette méthodologie.

Les changements accélérés peuvent faire déraper un produit. Encarta était une bonne idée jusqu’à ce qu’un concept répondant mieux au marché soit inventé, Wikipedia.

Ce genre d’expériences peut arriver à toute entreprise, et représenter une perte financière importante.

Lorsque des investisseurs s’intéressent à une entreprise, ils ne se satisfont pas longtemps d’un simple concept, ils veulent voir un produit.

Le terme consacré est un MVP (minimum viable product), un produit minimum viable. En d’autres mots, on n’essaie pas de créer un produit parfait, mais de le rendre disponible rapidement pour obtenir des données sur ce qu’en pensent les utilisateurs ou les clients.

Wikipedia a lancé sa plateforme avec peu d’articles et plusieurs étaient incomplets. Deux ans plus tard, les articles de Wikipedia étaient en tête des moteurs de recherche sur le web. C’était la bonne stratégie !

 

LE DESIGN SPRINT
MÉTHODOLOGIE

 

Un DESIGN SPRINT permet de générer de meilleures idées, d’organiser, de structurer et de concrétiser rapidement des solutions pour les tester auprès des personnes à qui elles sont destinées.

C’est une méthode puissante pour améliorer et repenser des produits et des services ou des processus organisationnels, dans un temps court. 

C’est une méthodologie extra pour nourrir une culture d’innovation.

1. Mobiliser une équipe pluridisciplinaire autour d’un défi stratégique.

2. Résoudre une problématique complexe qu’une seule personne ne saurait résoudre rapidement.

3. Élaborer le scénario de la solution choisie.

4. Réaliser un prototype.

5. Tester la solution, en temps réel, avec des utilisateurs ou des clients, analyser les résultats et décider des prochaines étapes.

6. Prévoir un prochain sprint sur une autre problématique.

La méthode originelle, c’est 5 jours, idéalement du lundi au vendredi. Si on le fait en présentiel, il faut veiller à ne pas perdre l’élan, c’est la magie d’un DESIGN SPRINT.

En distanciel, on peut réduire à 4 jours. Et le faire sur 2 semaines, cela donne d’excellents résultats, et minimisent les pertes de temps.

 

LE DESIGN SPRINT
LES GRANDES ÉTAPES

 

1. Explorer/Comprendre/Décider

2. Imaginer/Choisir/Concevoir

3. Prototyper

4. Tester

5. Analyser/Structurer/Déployer

 

ENVIE DE VIVRE UNE EXPÉRIENCE EXCEPTIONNELLE ?

 

La méthode doit être adaptée selon l’entreprise. Le DESIGN SPRINT est encore plus puissant s’il s’inscrit dans une philosophie de lean startup. C’est un moyen efficace de faire participer la direction à la conception du design de leurs produits et services. C’est une merveilleuse façon, pour tous, d’apprendre à co-créer ensemble.

Le DESIGN SPRINT est un outil-processus dans la boîte à outils des managers qui souhaitent développer une culture d’innovation au sein de leur entreprise.

La méthode doit être adaptée selon l’entreprise. Le DESIGN SPRINT est encore plus puissant s’il s’inscrit dans une philosophie de lean startup. C’est un moyen efficace de faire participer la direction à la conception du design de leurs produits et services. C’est une merveilleuse façon, pour tous, d’apprendre à co-créer ensemble.